Quid du plan communal de sauvegarde (P.C.S.) sans Telecom

Certains d’entre nous disposent encore de téléphones alimentés par le fil du téléphone. La tonalité ne nécessite pas que le téléphone soit branché au secteur.

Jusqu’en 2018 Le Réseau TéléCommuté, celui qui permettait d’utiliser un téléphone sans pile n’y batterie, a été maintenu. Depuis il est progressivement abandonné. Les “box” prennent le relais.

En pratique ce sont toujours des câbles qui apportent la communication jusqu’au terminal téléphonique. Mais une box doit être alimentée en électricité afin qu’elle puisse démoduler le signal qui lui arrive.

Le signal est aujourd’hui numérique et donc dépendant de l’alimentation de l’emetteur, du récepteur et du réseau de transmission.

L’interruption du téléphone et de la connexion internet peut donc survenir en raison de coupures physiques comme les ruptures de cables, les pannes d’ordinateur ou les surtensions. Mais aussi en raison d’une coupure d’électricité quelque part sur le réseau.

Serait-ce la fin des Telecoms ?

L’apparition des applications sur les smartphones, comme les réseaux sociaux, créée une nouvelle mutation. Serait-ce la fin des télé-communications avec les fournisseurs institutionnels (Article intéressant sur le sujet ici). L’avènement de la conquête spatiale et de la haute atmosphère fait entrer de nouveaux acteurs jusq’ici inconnus. Les téléphones mobiles peuvent disposer de batteries qui tiennent jusqu’à 72 heures. Le réseau des satellites s’ouvre au grand public. Comment avertir des familles de touristes étrangers sur la commune qui ne communiquent qu’avec une application connectée en WIFI public ?

Comment la commune doit-elle anticiper ?

Comment le P.C.S. peut il anticiper les coupures et faut il déclencher le P.C.S. lors d’une coupure de courant ou de téléphone ?

Et si l’alerte est automatisée par internet comment le P.C.S. doit il prévoir la réponse ?

Les réseaux se multiplient

De deux réseaux en 1980, les télé-communications dépendent de 5 types de réseaux qui comptes aujoud’hui pas moins de dix fournisseurs intervenants.

Connaitre ses forces et ses faiblesses

Le P.C.S. rendra l’action communale efficace dès lors que la reconnaissance des lieux a eu lieu. Et c’est quand tout est calme que l’essentiel peut être entrepris. Créer et réviser le P.C.S. permet de disposer de la connaissance des réseaux. En cas de sinistre la cellule de crise pourra mobiliser les bons moyens et saura alors mettre au point des solutions alternatives. SAFEPLAN aide à la connaissance des T.I.C. en constante évolution.

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